Voilà, c'est dit. En même temps, c'est à peu près pareil partout, sauf que là, ya la précision. Mais vu le gain de temps en passant par le parc, on va pas hésiter.
Une fois arrivé sur place, je fais la connaissance de ma tutrice, Mrs. Nikora. Un accent teinté de russe, avec une pointe d'écossais: étrange mais plus compréhensible que celui d'un écossais pur et dure, dont l'accent est coupé au couteau! Le projet s'annonce sympa, coton mais sympa: étudier l'impact de la végétation sur les canaux et rivières, et tout un tas de trucs. A voir. pour le moment, je dois avaler un paquet de paperasses, de techniques relatives aux outils que je manipulerai, me tenir informé des risques encourus (ouep, apparemment, c'est dangereux ce que je vais faire. J'ai pas très bien compris en quoi mais bon, on dit "ok" poliment et on lira ce truc ensuite).
D'ailleurs, ce matin (donc mardi), j'ai fait la connaissance d'un autre français. On va dire que c'est le premier car je ne considère pas comme une rencontre le troupeau du 3ème âge français que j'ai vu vu (ou dimanche, j'ai un doute). Ça fera une personne à qui pouvoir causer plus facilement, car le fait de ne pas être ici en tant qu'Eramus ( le débarquement à lieu en Septembre et Janvier) mais pour un internship, les connaissances ne se feront pas aussi aisément. Et maintenant, direction la charmante cuisine pour une tite causerie avec le gars du soudan et un collègue à lui qui vient du Cachemire, a étudié en Australie, travaillé au Canada, appris le français en cours de route en Hollande, et j'en passe.
Je posterai d'autres trucs plus tard, j'ai déjà bien inondé le blog là. Je ne risque pas de faire ça souvent donc c'est tout ou rien.
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